AccueilComme il est coutume de dire dans le secteur de l’énergie : la meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas, il est possible de dire que le meilleur comptage est celui que l’on n’installe pas !
Tout acteur qui souhaiterait mettre en place un système d’information énergétique doit se poser la question de l’ordre prioritaire de mise en œuvre des systèmes. Les entreprises et les collectivités locales lorsqu’elles réalisent des projets d’Efficacité Énergétique ont souvent tendance à dépenser de l’argent pour recréer de la donnée, quand elles pourraient au préalable essayer d’exploiter leurs données existantes. Il n’est pas question ici de dévaloriser un marché et le travail de professionnel qui ont toute leur place dans le monde de l’immobilier et de l’énergie, mais simplement de prioriser les investissements. En effet, tout acteur qui souhaiterait mettre en place un système d’information énergétique doit se poser la question de l’ordre prioritaire de mise en œuvre des systèmes. Un médecin réalise rarement un examen médical complet, coûteux et intrusif, avant d’avoir questionné le patient et réalisé un premier examen clinique.
Quelle en serait la transposition dans le secteur énergétique ?
À titre d’exemple, une chaîne de centres commerciaux basée en France pensait ne pas avoir à sa portée beaucoup d’informations utiles pour mieux connaître son parc immobilier et ses dépenses énergétiques. L’illustration ci-contre montre que c’était en réalité tout l’inverse. Pour chacun des 230 magasins de son parc (représentés par les lignes du tableau), cette chaîne de centres commerciaux dispose en réalité de plus de 8 000 informations énergétiques, techniques, patrimoniales ou d’activité (représentées par les colonnes du tableau). Comment exploiter des données dont on ne connaît par l’existence.
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La prochaine fois, Le Blog de Deepki vous révèlera quelles sont concrètement ces données et auprès de qui cette chaîne de centres commerciaux les a récupérées.
