Les fondations de la DEI (Diversité, Équité et Inclusion)

Maya Fink
Date25 mai 2023

L’Accord de Paris, signé en 2015, a souligné l’importance de travailler tous ensemble pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) d’ici 2030 et parvenir à l’objectif net zero d’ici 2050. Ces dernières années, la recherche a en particulier mis en avant l’urgence de cet objectif si nous voulons réduire les effets négatifs du réchauffement climatique. Bien que le thème soit toujours fortement axé sur les questions environnementales, des événements récents, comme la COP27, le COVID et certains événements géopolitiques, ont modifié notre point de vue sur la collaboration internationale, en mettant progressivement l’accent sur le rôle du S et du G dans l’ESG (Environnement, Social et Gouvernance).

La gouvernance a adopté une position plus élevée sur les questions, l’Accord de Paris étant un catalyseur commun pour que d’autres pays prennent l’exemple. Plus particulièrement, le secteur immobilier a joué un rôle important en ce qui concerne le « G » de l’ESG. Avec la multiplication des réglementations qui incitent les principaux acteurs à reconsidérer leur consommation d’énergie, les investisseurs sont maintenant confrontés à des défis s’ils choisissent de ne pas se conformer aux rapports de transparence.
Aujourd’hui, la valeur des actifs est fortement corrélée à un reporting transparent des scores ESG.

Certaines de ces réglementations incluent la SFRD, la CSRD, le décret tertiaire en France et la taxonomie de l’UE. Depuis la COP27 en Égypte et la seconde partie de la Conférence de l’ONU sur la biodiversité (COP15 à Montréal), nous assistons à une évolution des priorités, avec une plus grande prise en compte des questions sociales susceptibles d’entraver la réussite des objectifs environnementaux initialement décrits. En mettant correctement en évidence les problèmes sociaux sous-jacents, nous pouvons espérer que les solutions environnementales deviendront beaucoup plus réalistes. L’une de ces solutions pourrait être l’adoption d’un cadre DEI (diversité, équité, inclusion) dans le secteur immobilier.

Diversité, Équité, Inclusion

Les conditions météorologiques extrêmes et les catastrophes naturelles de tous types sont devenues une réalité quotidienne. Pour réussir à réduire les températures mondiales de 2°C, travailler ensemble sur des actions immédiates est primordial. Pour cela, il faut s’appuyer sur ceux qui sont en mesure d’atténuer les effets de ces phénomènes, en montrant l’exemple. L’une des principales avancées a été de trouver les financements nécessaires pour répondre aux besoins des pays en développement et renforcer la résilience des communautés les plus vulnérables. Le but est d’adopter un cadre DEI dans tous les secteurs, dans le but d’atténuer le changement climatique.

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Qu’est-ce que cela veut dire exactement?

Diversité (des sexes)

Les impacts négatifs du changement climatique sont corrélés aux tensions géopolitiques existantes, affectant fortement les femmes et les filles dans les pays les plus vulnérables qui manquent de ressources de soutien. Par exemple, certains villages ruraux au Yémen, en Irak et en Syrie ont connu des sécheresses intenses au cours des dernières années en raison de la crise climatique. En conséquence, les femmes et les filles en charge du transport de l’eau potable dans les communautés qui n’y ont pas accès à proximité, risquent leur vie en voyageant plus loin de chez elles pour porter de l’eau. Les impacts négatifs incluent aussi l’absence d’accès à l’éducation ou encore le fait de voyage jusqu’aux villes urbaines lors de tensions politiques dangereuses, ce qui pourrait entraîner des taux plus élevés d’agressions physiques ou sexuelles envers les femmes.

Marketa Simkova, Partner et Head of People and Change chez KPMG, déclare que « 50 % de l’amélioration de la sécurité alimentaire dans les pays en développement est due à la promotion de programmes d’autonomisation des femmes au cours de la dernière décennie. Cela indique que les femmes ont un rôle à jouer en tant que pilier du changement » (FastCompanyME). Tenir compte de la manière dont les différents sexes sont affectés par le changement climatique (en particulier dans les pays vulnérables) augmente le succès des stratégies ESG car elle approfondi le cadre DEI.

D’après Jessica Robinson, MENA Sustainable Finance Leader chez EY-Parthenonin, « l’intégration des sexes dans la prise de décision en matière d’investissement améliore les opportunités économiques et contribue à garantir le bien-être social des femmes et des filles » (FastCompanyME). Avec des solutions qui tiennent compte des différences entre les sexes, nous pouvons nous assurer de nous rapprocher d’une solution qui peut être maintenue par tous à travers le monde.

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Antonio Marquez, associé principal et directeur de Comunidad Partners, une entreprise américaine composée à 100% de femmes et de personnes issues des minorités, donne l’exemple d’un leader qui comprend que la diversité culturelle est essentielle. Anna Dunkley, responsable des opérations chez Mayfair Capital, filiale britannique de Swiss Life Asset Managers, affirme que les entreprises doivent davantage inclure la diversité non seulement à des fins de réglementation mais aussi à des fins de changement. Elle dit : « Historiquement, ce sont les femmes qui ont effectué toutes les tâches administratives. Il s’agit de s’assurer qu’il y a une progression de carrière claire et que les supérieurs hiérarchiques sont formés. Le rôle du supérieur hiérarchique a radicalement changé, particulièrement depuis le COVID. Fini le temps de la délégation. Les supérieurs sont maintenant perçus comme des mentors » (IPE Real Assets).

Diversité dans le secteur immobilier

La diversité joue un rôle important pour notre avenir. Alors que la mondialisation bat son plein, ignorer la diversité des communautés et la diversité des besoins serait un énorme désavantage pour toute entreprise, ainsi que pour le secteur de l’immobilier. En regardant de plus près le rôle qu’elle joue, nous pouvons décrypter l’importance de considérer la diversité dans l’aspect social de toute stratégie ESG.

Mike Vein, vice-président exécutif du personnel chez eXp World Holdings, a mis en œuvre des changements au sein de l’entreprise afin d’accroître la formation à la lutte contre les préjugés. Il précise que « la diversité et l’inclusion génèrent beaucoup de différences dans les idées. Cela nous aide à élargir nos horizons » (RisMedia).

Une étude réalisée par Cloverpop a analysé environ 600 décisions commerciales prises par 200 équipes, dans un éventail d’entreprises. Les chercheurs ont constaté que lorsque des équipes diversifiées (de trois personnes ou plus) prenaient une décision commerciale, elles surpassaient les décideurs individuels jusqu’à 87 % du temps. De plus, les équipes diversifiées prennent des décisions plus rapidement que les travailleurs individuels et elles bénéficient d’une amélioration de 60 % dans la prise de décision. Ce résultat fait écho à la déclaration de Mike Vein, montrant que la prise en compte de l’importance de la diversification peut être à la fois un avantage financier et social – tout le monde peut y gagner.

Historiquement, l’immobilier a toujours été un indicateur de réussite, de richesse et d’expansion à travers le monde. Collaborer avec différentes communautés et diverses personnes permet de prendre des décisions qui reflètent où le secteur de l’immobilier se situe aujourd’hui. Les particuliers n’investissent plus uniquement dans l’immobilier local. Alors que les acteurs de l’immobilier commencent à chercher des moyens d’étendre leurs activités à l’horizon, il deviendra encore plus important d’envisager de diversifier les équipes.

Équité

L’équité sociale est un aspect tout aussi important que la diversité et l’inclusion à prendre en compte lorsqu’il s’agit de trouver des solutions réelles et valables pour réduire les émissions de GES. Le fonds pour les pertes et dommages subis par les pays vulnérables, créé en collaboration avec l’UNFCC, témoigne des intentions derrière les initiatives prises lors de la COP27. En reconnaissant le rôle essentiel que jouent les pays en développement dans la réussite de l’atténuation du changement climatique, les mesures appropriées peuvent être prises pour garantir leur participation à l’avenir. Le fonds est la première étape vers une méthode d’adaptation plus inclusive.

Le rôle de la COP27

Le président égyptien Abdel Fattah El-Sisi a déclaré que « la COP27 est une opportunité de montrer l’unité contre une menace existentielle que nous ne pouvons surmonter par une action concertée et une mise en œuvre efficace » (United Nations). Il est donc pertinent que les législateurs envisagent un soutien financier adéquat pour les pays en développement afin qu’ils réalisent au mieux les objectifs fixés par l’Accord de Paris – en particulier en Afrique, dans les PMA et les PEID.

Les prochaines étapes consistent à prioriser l’équité sociale avec les actions suivantes :

  • (1) trouver des méthodes d’adaptation proactives et pertinentes qui tiennent compte de l’état d’avancement des pays en développement de leur parcours ESG, 
  • et (2) prendre en compte les effets des événements climatiques actuels sur certaines communautés vulnérables.

Les accords conclus dans le cadre des efforts visant à intégrer le cadre DEI dans les stratégies ESG nous rappellent à tous que les personnes sont à l’épicentre des plans d’action environnementaux et que les solutions doivent inclure les divers besoins des communautés et des individus. Le concept de « transitions justes », mis en lumière lors de la COP27, considère qu’il existe de profonds changements sociaux et de gouvernance nécessaires pour aider les pays les plus économiquement vulnérables à passer d’une dépendance aux combustibles fossiles à des moyens plus naturels. Le texte qui a suivi, adopté lors de la COP27 de 2022, appelle les pays à prendre en compte tous les aspects de l’ESG, y compris les stratégies sociales et socio-économiques, alors que nous sommes confrontés à la responsabilité d’atténuer le changement climatique.

Tout savoir sur la CSRD : mise à jour de la directive ambitieuse de l’Union européenne

Équité dans le secteur immobilier

L’évolution des réglementations pour englober davantage d’aspects de l’ESG reflète les convictions de la société actuelle. De plus en plus de personnes recherchent des emplois qui correspondent à leurs croyances en matière de justice sociale. La justice sociale des entreprises fait référence à leur responsabilité de donner la priorité à l’amélioration des membres lésés ou défavorisés de la société. Cela signifie prendre des décisions financières qui permettront aux personnes de tous les horizons de participer de manière égale et équitable aux activités de l’entreprise. Il est possible que la relation entre les engagements des employés et la responsabilité sociale soit bien plus importante que ce que les dirigeants d’entreprise sont capables de voir en surface. 

Les acteurs immobiliers ont la possibilité d’investir dans de véritables mesures d’équité sociale bénéfiques pour toutes les parties. Par exemple, le comité Building Healthy Places d’ULI de Los Angeles, explique l’importance que l’immobilier adopte des mesures d’équité sociale. D’après le comité, les mesures d’inégalité dans l’immobilier diminuent le succès du secteur. Au contraire, l’investissement dans des mesures d’égalité a un impact positif à de nombreux égards. Le comité suggère notamment de prendre en compte des bâtiments sains pour une communauté plus saine. Considérer la santé des occupants comme une stratégie d’investissement immobilier peut améliorer la valeur des actifs en réduisant les coûts d’exploitation, en augmentant la productivité des employés, en obtenant des loyers supérieurs et en augmentant la valeur des locataires.

Le secteur a la responsabilité de tenir compte de sa principale force motrice. Les institutions financières et les promoteurs immobiliers devraient reconsidérer leurs approches obsolètes en matière d’études de marché, de gestion des risques et de modélisation financière qui peuvent affecter les inégalités. Un investissement adéquat dans l’équité sociale est bénéfique et a un impact positif sur les actifs, tels que la rétention des locataires ou l’augmentation de la valeur du portefeuille. Bien que l’équité sociale soit encore un sujet relativement nouveau pour la plupart des industries, investir dedans nécessite une bonne coordination entre les acteurs, les équipes de développement, le gouvernement et les citoyens – un investissement valable pour un rendement plus important et plus holistique.

Inclusion

La COP27 de 2022 en Égypte a été très importante pour changer le paradigme des stratégies élaborées pour freiner le changement climatique : ce n’est pas une stratégie purement environnementale mais une stratégie des droits de l’homme. Elle a spécifiquement mis en évidence les moyens nécessaires pour aider les pays en développement qui tentent de contribuer aux efforts mondiaux. Le fait que la conférence se soit tenue sur le continent africain était particulièrement symbolique des difficultés auxquelles les pays du tiers monde sont confrontés, tant en ce qui concerne les risques climatiques directs que le manque de ressources.

Dans sa déclaration lors de la clôture de la COP27 à Charm el-Cheikh, António Guterres, Secrétaire Général, a résumé l’intention générale de la conférence et l’importance spécifique du thème de la « justice » en tant qu’acte de collaboration : « Dès le début, la conférence a été animée par deux thèmes primordiaux : la justice et l’ambition. Justice pour ceux qui sont en première ligne et qui n’ont que très peu contribué à la crise – y compris les victimes des récentes inondations au Pakistan qui ont submergé un tiers du pays » (United Nations). Le récent tremblement de terre en Turquie et en Syrie n’est qu’un exemple qui souligne l’importance de soutenir les pays vulnérables contre les problèmes causés par l’environnement. La Syrie se classe 176e sur 190 sur l’échelle BTI (indice de transformation Bertelsmann qui mesure l’état de développement des pays du monde entier).

La concrétisation de la contribution nécessaire de 100 milliards de dollars US par an en financement climatique pour les pays en développement ouvre la voie vers des adaptations appropriées pour une meilleure chance d’atteindre l’objectif mondial. Il conclut : « Enfin, la justice et l’ambition requièrent la voix essentielle de la société civile. La source d’énergie la plus vitale au monde est le pouvoir du peuple. C’est pourquoi il est si important de comprendre la dimension des droits de l’homme dans l’action climatique ».

La deuxième partie de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (Quinzième réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique), verra l’adoption d’un nouveau cadre et d’une feuille de route pour la conservation, la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes. La Conférence reconnaît l’urgence d’une politique mondiale visant à stabiliser les pertes de la biodiversité pour une meilleure reconstitution des écosystèmes naturels. Les communautés ont ainsi l’opportunité de travailler ensemble dans l’espoir de construire un avenir en harmonie avec la nature d’ici 2050.

Les gouvernements, le secteur privé et la société doivent travailler ensemble pour trouver des solutions respectueuses du climat pour interagir avec la planète. Ceci en mettant particulièrement l’accent sur l’amélioration des relations avec les communautés écologiques et les pays en développement afin d’avancer de la manière la plus saine possible. L’inclusion consiste à prendre en compte plusieurs facettes susceptibles d’être affectées par chaque action commerciale à l’avenir.

Donner à chaque personne sur Terre une chance de lutter – y compris la nature elle-même – c’est faire attention à l’impact de nos actions sur d’autres cultures, ainsi qu’à créer des voies réalistes pour que les plus vulnérables puissent participer. C’est pour cette raison que l’immobilier fait partie des secteurs confrontés à la tâche d’agir de manière responsable. L’immobilier peut non seulement faire preuve de transparence, mais aussi se faire un devoir de prendre en compte tous les aspects de l’ESG, y compris l’adoption du cadre DEI dans l’immobilier en ce qui concerne le « S ».

Inclusion dans le secteur immobilier

En réinvestissant le temps, les ressources et l’éducation nécessaires dans les personnes, en veillant à la sensibilisation et l’inclusion, les entreprises peuvent avoir un potentiel plus grand. Selon une étude menée par Deloitte en 2017, « les organisations qui ont une culture inclusive sont deux fois plus susceptibles d’atteindre ou de dépasser les objectifs financiers et trois fois plus susceptibles d’être très performantes. Elles sont six fois plus susceptibles d’être innovantes et agiles et huit fois plus susceptibles d’obtenir de meilleurs résultats commerciaux ». En adoptant un état d’esprit inclusif, les entreprises peuvent augmenter la créativité et l’innovation au sein d’une équipe issue de milieux différents. L’inclusion peut bénéficier directement et indirectement à la performance. Les effets indirects d’une approche inclusive de l’immobilier incluent l’augmentation de la valeur des actifs et de leurs performances en améliorant la transparence, l’amélioration de l’image de l’entreprise et la rétention des talents.

La nécessité de l’inclusivité en entreprise

La création d’une entreprise, qu’elle soit liée à l’immobilier ou non, doit reposer, aujourd’hui plus que jamais, sur des principes inclusifs qui soutiennent tous les membres de l’équipe, en leur offrant des opportunités égales de s’épanouir et de donner en retour. En élaborant des stratégies fondées sur des mesures d’inclusion appropriées, chaque membre de l’équipe peut réaliser son potentiel, s’épanouir dans son travail et mettre à profit la diversité de ses idées et de ses compétences pour obtenir un taux de réussite accru, comme le montre l’étude réalisée par Deloitte.

Et maintenant ? 

Bien qu’il reste encore un long chemin à parcourir pour le secteur immobilier, de plus en plus de ressources sont mises en place pour soutenir la voie à suivre. 92% des sociétés immobilières commerciales ont mis en place des programmes qui font de la DEI une priorité. La mise en pratique de ces stratégies peut s’avérer un peu plus difficile. Les experts du secteur affirment qu’il y a une grande différence entre l’intention et le succès –  par exemple ;

  • Au Royaume-Uni, l’enquête de Real Estate Balance de 2022 a révélé qu’entre 2016 et 2020, les femmes représentaient environ 40 % de la main-d’œuvre du secteur immobilier pour les postes de débutants diplômés jusqu’aux cadres moyens, mais que leur nombre pour les postes de direction avait chuté de manière spectaculaire. 
  • En Europe, 43% des sociétés immobilières commerciales ont des professionnels qui se consacrent uniquement à DEI.
  • En Asie-Pacifique, 33 % des sociétés immobilières commerciales ont des professionnels qui se consacrent uniquement à l’IED. 
  • En Amérique du Nord, 21 % des entreprises disposent de professionnels de l’IED, tandis que 67 % des entreprises ont des comités formels d’IED chargés de développer, de mettre en œuvre et de réviser les stratégies et les initiatives d’IED.
  • En Asie-Pacifique et en Europe, environ 44 % des entreprises utilisent des comités DEI.

Comment aller plus loin ?

Rien de tout cela n’est facile. D’après Forbes, il est possible d’accroitre l’engagement des employés grâce à l’ESG si votre stratégie est inclusive, si vous investissez dans des initiatives alignées sur les valeurs de l’entreprise et si vous créez des ambassadeurs qui soutiennent vos objectifs en matière de durabilité. Alors que le secteur de l’immobilier progresse vers un environnement plus inclusif, il est important de se rappeler que la mise en œuvre de la DEI nécessite un alignement sur tous les fronts : les gestionnaires, les parties prenantes, les employés et la gouvernance.

Voici quelques thèmes qui pourraient aider les acteurs de l’immobilier à introduire un cadre DEI :